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Cyril Abad vit et travaille à Paris comme photographe indépendant depuis une dizaine d’années. Après avoir exercé comme photographe publicitaire et de mode, il mène à partir de 2012 un travail documentaire portant un regard singulier et souvent décalé sur la place de l’homme dans la société. Il collabore régulièrement avec la presse magazine grâce à des reportages originaux et traités avec humour comme Blackpool, the Brexit holidays ou The last dreamers . En 2016 il entame
un projet de 3 années sur les formes originales de la religion aux États-Unis, territoire de prédilection de son travail. Ce projet nommé In God we trust offre une vision dissonante et décalée de nos sociétés contemporaines. Ce projet est publié de nombreuses fois en France comme à l’international et a été exposé en 2019 à Visa pour l’image.

www.cyrilabad.com

Didier Bizet a travaillé de nombreuses années en tant que directeur artistique pour le compte de clients internationaux en agences de publicité en France
et à l’étranger. En 2015, il se consacre uniquement à la photographie et rejoint 
le studio Hans Lucas. Ses attirances vont vers les anciens pays du bloc soviétique « où la mélancolie du temps se laisse docilement photographier ». Entre photographie d’auteur et documentaire, la photographie est pour lui un vrai apprentissage de l’environnement. « Elle me facilite et parfois me donne des réponses à mes propres questionnements sur les sociétés. Elle n’est pas que plaisante mais aussi nécessaire à ma propre expérience de vie. Le monde qui m’entoure évolue, se modernise, se modifie, me surprend. Je suis à la recherche de curiosités de notre société moderne afin de les comprendre. » Didier Bizet est diplômé de l’École Nationale Supérieure des Beaux-Arts et licencié en histoire de l’art. Il publie ses reportages dans la presse internationale. Il a reçu en 2020
le Sony Award (second prix, documentaire) pour sa série Baby boom publiée
de nombreuses fois en France comme à l’international et projetée en 2020
à Visa pour l’image.

www.didierbizet.com

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Carole Bellaïche découvre à l’âge de 13 ans sa vocation pour la photographie en mettant en scène ses jeunes amies de lycée et en apprenant le tirage dans son petit laboratoire. Encouragée l’année suivante par la rencontre décisive avec Dominique Issermann, elle prend sa passion au sérieux. Âgée à peine de 17 ans,
elle commence à réaliser des portraits d’acteurs chaudement recommandés par Issermann qui veut la pousser. Ces acteurs l’appellent pour réaliser leur « book »
et très vite, son activité devient professionnelle. Passionnée aussi par le cinéma, elle décide de réaliser, entre 1985 et 1988, une série de portraits d’acteurs et de cinéastes photographiés dans les musées parisiens, série qui sera montrée galerie Agathe Gaillard en 1989, pour sa première exposition personnelle à Paris.
Sa collaboration avec les Cahiers du cinéma en 1992, qui durera une quinzaine d’années, lui fera rencontrer acteurs et cinéastes du monde entier. Son talent de portraitiste, personnel et libéré des codes de la pose traditionnelle, est confirmé. Tout en continuant ses travaux personnels — et en les exposant régulièrement
— elle choisit d’intégrer l’agence de presse Sygma en 1998, puis l’agence H&K. Ses portraits de personnalités sont publiés dans divers journaux et magazines.
En 2002, le mois de la photo à Paris lui organise une grande exposition au musée des Archives Nationales, Portrait, rassemblant exclusivement des portraits
de femmes, célèbres et anonymes, sorte de mini-rétrospective. En novembre 2007, le Musée du Cinéma de Turin lui rend hommage en exposant 140 de ses clichés d’icônes du grand écran réalisés pour la plupart pour les Cahiers du Cinéma. Pour Carole Bellaïche, ses photographies sont ses objets de collection quels qu’ils soient. Elles sont la preuve réelle de moments vécus.  Elle a publié
en 2018 Entre jeunes filles avec Alain Bergala aux éditions Yellow now et Isabelle Huppert, en 2019, aux éditions de La Martinière.

www.carolebellaiche.com

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© Angela Kebadian

La quarantaine bien entamée, Patrick Cockpit travaille sur la représentation photographique de l’attente, du silence et de l’invisible. Adepte des images droites et carrées, il cultive sa schizophrénie en montant différents projets
sur le totalitarisme et sa mise en spectacle, ou plus prosaïquement sur le portrait féministe, punk et décalé. Il est membre du studio Hans Lucas et travaille essentiellement comme portraitiste pour la presse, l’institutionnel et différentes maisons d’édition.

hanslucas.com/pcockpit

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Sillonnant à travers des époques emblématiques, des costumes et des décors chargés d’histoire comme la Villa Goupil de Jacques Couëlle, le siège du PCF d’Oscar Niemeyer, la maison Louis Carré d’Alvar Aalto, le Château de Thoiry
ou encore la Maison-Atelier Marta Pan d’André Wogenscky, Sacha Goldberger redessine l’Histoire de manière poétique en superposant les limites de la fiction et du réel. « À chaque cliché, on découvre une photo qui n’est pas de la photo,
un dessin qui n’en est pas un, un film non tourné, des gens qui ont pour seule réalité celle d’habiter son cerveau
. » comme le souligne si justement Alexandre Jardin qui signe la préface d’Alien Love. Sacha Goldberger a remporté
le prix du Ministère de la Culture en 2021, 1 immeuble, 1 œuvre avec son projet Les Compagnons Renaissance. Il est aujourd’hui l’ambassadeur de la marque Leica.

sachagoldberger.com

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